Fozzgog devine ce que vous pensez

http://fozzgog.be/devine/

Via l’adresse ci-dessus, vous pourrez tester le petit jeu de devinette. Ce même script est appelé par des ztamps pour nabaztag et fait parlé mon lapin ‘Fozzgog’.

Le principe est simple, il connait des éléments, ayant chacun des qualificatifs et par déduction il va deviner ce à quoi vous pensez à l’aide de 2 ztamps (ou boutons sur le site) ‘oui’ et ‘non’ + la possibilité de ‘recommencer’.

Actuellement il ne connait pas grand chose mais on peut lui enseigné, mais de peur qu’on lui apprenne des bêtises je n’offrirais pas cette possibilité. Du moins pour le moment 🙂

Il me reste juste un design sympa à faire et la version web sera finie.

Pour la version nabaztag je pense utiliser les lumières et les oreilles pour plus d’interactivité. A suivre 😉 .

L’amour mathématique

Cette réflexion a pour origine le fait trop fréquent d’indécisions concernant l’affection envers une personne.

Concrètement le « je ne sais plus si je l’aime » ou le « tu l’aimes ? je ne sais pas » est un simple manque de logique.

Partons du principe que notre affection envers une personne est une valeur parmi une jauge, théorie que j’expliquerai peut-être plus tard.

Partant d’une jauge n’ayant qu’une graduation, plus vous rencontrez de personne plus votre jauge en aura. Car à chaque rencontre vous définirez une valeur pour cette personne.

Comment est définie cette valeur, là est la question qui nous permet de répondre à la question initiale de l’affection.

Dans un premier temps vous rencontrez la personne, elle va vous plaire ou non pour x raisons (autres jauges). Ensuite, peut-être que vous allez vous y intéresser et creuser la personne. Vous mettrez continuellement à jour vos jauges.

Jusque là nous avons une kyrielle d’informations sur la personne ainsi que des jauges ayant chacune leur valeur.

La somme de ces jauges définit la valeur d’affection. Plusieurs personne peuvent avoir la même valeur finale en ayant des valeurs de jauges différentes.

A cela on peut parler de goûts et donc d’un coefficient donnés par jauges ce qui va rendre les individus différent dans leur calcul de jauge. ainsi 2 personnes connaissant le même groupe d’autres personnes auront différentes valeurs affective à leur égards.

Pour répondre à la question il suffit de mettre à jour ses jauges, d’additionner et de prendre la décision qui s’impose.

Prenons le cas concret ou le partenaire d’un couple a une valeur affective qui diminue pour l’autre. Une partie des autres valeurs présentent au même instant peuvent passer au dessus. Il sera clairement question que notre individu est plus intéressé par cette autre personne que par l’initiale.

La raison dès lors sera trouvée parmi les jauges additionnées et ainsi il pourra expliquer son changement. Évidemment, selon l’individu il l’exprimera à sa façons…

Suite à cette première réflexion, une machine, une I.A. pour être précis, pourra selon exactement les même principes, mais avec moins de jauges, aimer une personne/I.A..

Comme dit, la seule différence réside dans la quantité de jauges. Même chez les humains, tous les individus n’ont pas le même nombre de jauges. Certains poussent leur réflexions, d’autres se contente de vivre.

Enfin, selon le principe expliqué précédemment que l’ont peut avoir une même valeur finale à plusieurs personnes, on peut donc aimer plusieurs personnes. Nos m?urs, notre éducation, etc. nous disent que l’on ne peut aimer qu’une personne mais dans la logique présente il ne sera que question de choix parmi les personnes ayant la valeur la plus hautes.

Le choix, toujours le choix, peut-être la partie la plus dure 🙂

Évidemment, avec la difficulté du choix, parfois on descend la sélection à la valeur suivante, et ainsi de suite. Mais là on parle du genre humain et de ses incohérences. 😉