La base web de v3 à 5, récemment revue en framework a été refactorisée de manière à devenir un projet bien indépendant de ces utilisation (via un externals svn par exemple).
Son nom : Badawok pour BAse web de DAaboo frameWOrK.
Pourquoi pas Badawork ? Un peu dur à prononcer. Comme beaucoup de mes projet, ça doit sonner Ork mais pas devenir difficile à dire. Simple et amusant en gardant une signification, Badawok est un nom qui convient.
Comme annoncé sur mon blog dans ces articles :
https://blog.daaboo.net/2012/01/base-web-deviendra-framework/
https://blog.daaboo.net/2012/01/base-web-framework-badawok-6-0/
Badawok change pas mal de choses sans changer pour autant ce qui a fait sa force jusqu’ici, càd sa fiabilité, sa flexibilité, son côté « pour développeur/sysadmin » et son multilinguisme.
Jamais lâché, toujours amélioré !
Badawok est, comme à chaque sortie d’une nouvelle version, le chef d’oeuvre du moment, rassemblant la somme d’expériences et de retours concrets. Ainsi il est le même, en mieux !
La majeure partie des modifications viennent du coeur, un code procédural divisé en objet, objet qu’est devenu le framework. Jusque là juste l’appel change. L’index installé est vide et appelle Badawok.
Ensuite on a le traditionnel routeur. Lui a complètement été réécris. La langue devient obligatoire (avec fallback) pour prévenir le bon référencement en cas de changement du nombres de langues.
Celui-ci rend plus d’information que précédemment. Il envoie non seulement le module (page/système) demandé mais aussi son action au lieu de le faire en interne au module. Il est également capable de préparer de manière simple non-traitée les arguments supplémentaires qui lui sont parvenu par l’url (pas le querystring).
La suite est juste une mise en objet des différentes fonctions utilitaires ou de templates.
Badawok est à son étape de finitions. Bien que certaines partie peuvent encore changer de place la refactorisation est au point.
Un projet réel en cours sert de mise en situation pour les tests et corrections.