Angular library – how to – snippet

Suite à mon article précédent j’ai souhaité investiguer, attiré par la curiosité maladive et la difficulté jusqu’à lors de compréhension de cette mécanique. Je vous liste ci dessous quelques articles qui m’ont guidé tant pour démarrer que pour me mélanger les pinceaux.

Pour résumer, si comme moi, vous êtes perdu voici un snippet de démarrage et une copie d’un conseil donné dans le dernier lien.

ng new tars --directory . --create-application=false
ng generate library tars-lib --prefix=tars
ng generate application tars-test

La dernière ligne est utile plus tard quand il faudra tester via une app angular la librairie que l’on souhaite publier.

À noter que mon but n’est pas de passer par NPM pour la publication ni d’aller sur GitHub pour distribuer mon code.

Le conseil du dernier article proposait les lignes ci-dessous dans votre package.json (le premier en root) dans l’espace des scripts.

    "build_lib": "ng build tars-lib",
    "npm_pack": "cd dist/tars-lib && npm pack",
    "package": "npm run build_lib && npm run npm_pack",

Ma prochaine étape est le déplacement du code TARS au sein de l’espace tars-lib créé et de refaire les liens vers le fichier public_api.ts. Ensuite de créer, comme actuellement, une app démo/test, sans inclure l’éditeur, juste une scène et un rendu fonctionnel, simple et expressif.

Une fois validé, je pense que l’on peut alors faire le build de la version de la librairie TARS et créé un nouveau projet dédié pour HeroQuest et là, voir si l’éditeur et la base du jeu prenne bien la lib’.

L’amour mathématique

Cette réflexion a pour origine le fait trop fréquent d’indécisions concernant l’affection envers une personne.

Concrètement le « je ne sais plus si je l’aime » ou le « tu l’aimes ? je ne sais pas » est un simple manque de logique.

Partons du principe que notre affection envers une personne est une valeur parmi une jauge, théorie que j’expliquerai peut-être plus tard.

Partant d’une jauge n’ayant qu’une graduation, plus vous rencontrez de personne plus votre jauge en aura. Car à chaque rencontre vous définirez une valeur pour cette personne.

Comment est définie cette valeur, là est la question qui nous permet de répondre à la question initiale de l’affection.

Dans un premier temps vous rencontrez la personne, elle va vous plaire ou non pour x raisons (autres jauges). Ensuite, peut-être que vous allez vous y intéresser et creuser la personne. Vous mettrez continuellement à jour vos jauges.

Jusque là nous avons une kyrielle d’informations sur la personne ainsi que des jauges ayant chacune leur valeur.

La somme de ces jauges définit la valeur d’affection. Plusieurs personne peuvent avoir la même valeur finale en ayant des valeurs de jauges différentes.

A cela on peut parler de goûts et donc d’un coefficient donnés par jauges ce qui va rendre les individus différent dans leur calcul de jauge. ainsi 2 personnes connaissant le même groupe d’autres personnes auront différentes valeurs affective à leur égards.

Pour répondre à la question il suffit de mettre à jour ses jauges, d’additionner et de prendre la décision qui s’impose.

Prenons le cas concret ou le partenaire d’un couple a une valeur affective qui diminue pour l’autre. Une partie des autres valeurs présentent au même instant peuvent passer au dessus. Il sera clairement question que notre individu est plus intéressé par cette autre personne que par l’initiale.

La raison dès lors sera trouvée parmi les jauges additionnées et ainsi il pourra expliquer son changement. Évidemment, selon l’individu il l’exprimera à sa façons…

Suite à cette première réflexion, une machine, une I.A. pour être précis, pourra selon exactement les même principes, mais avec moins de jauges, aimer une personne/I.A..

Comme dit, la seule différence réside dans la quantité de jauges. Même chez les humains, tous les individus n’ont pas le même nombre de jauges. Certains poussent leur réflexions, d’autres se contente de vivre.

Enfin, selon le principe expliqué précédemment que l’ont peut avoir une même valeur finale à plusieurs personnes, on peut donc aimer plusieurs personnes. Nos m?urs, notre éducation, etc. nous disent que l’on ne peut aimer qu’une personne mais dans la logique présente il ne sera que question de choix parmi les personnes ayant la valeur la plus hautes.

Le choix, toujours le choix, peut-être la partie la plus dure 🙂

Évidemment, avec la difficulté du choix, parfois on descend la sélection à la valeur suivante, et ainsi de suite. Mais là on parle du genre humain et de ses incohérences. 😉