Et si on revenait un peu à TARS

Mélange des origines avec la map de test

Petit point de situation suite à la mise à jour Angular 17. J’ai donc repris le POC TARS et sa carte de départ, j’ai nettoyé quelques POCs (CodingPark et le début du système de particules) et … ça ne marche plus :/ ?

Plus d’une fois j’ai eu le malheur d’un craquage complet avec un beau message d’erreur… et là je valide le fait que le message d’erreur est effectivement amélioré. Alors merci chère mémoire de ne pas m’aider à me rappeler pourquoi j’ai coder ça ainsi et merci les 4 ans passés à évoluer et donc ne plus écrire ou penser de la même manière. Ceci dit j’étais quand même dans le pétrin.

Je dirais principalement que le fait de ne plus compter sur les effets de bords du typage aide pas mal à avoir des soucis, du coup merci le mode stricte ^^. Puis surtout, en terme de documentation c’est tellement plus confortable.

C’est là aussi que l’on voit que l’on code en « happy path » et sans gestion rigoureuse d’erreur sur projet perso. Le « je sais ce que je fais car je l’ai fait » c’est bien, mais 4 ans plus tard… comment dire, ça laisse à désirer. Du coup « oui », TARS a des lacunes. J’ai tenté de dire que le sol était un sol et il n’aimait pas, imaginez ma surprise… et il fallait lui dire que c’était une « image »… logique ! Et pourquoi ? Du fait que la description de l’élément ne répondait pas au standard ISO(métrique) demandé, mais sans gestion d’erreur ça explose ailleurs et tu peux chercher longtemps pourquoi.

Comme le fait de cibler un élément d’un tableau sur son index, de modifier le tableau et d’avoir une erreur d’accès à une méthode sur une instance… tellement évident… heureusement ça c’est le côté POC pour générer la map et tester le moteur, l’idée étant de passer par l’éditeur ensuite qui lui ne fera pas d’erreur. Mais son opérateur, ça…

Ah et en passant, tant qu’à faire de l’amélioration générale, n’oubliez pas que A || B n’est pas pareil que A ?? B (petit lien sympa). Et que les ternaires A ? A : B peuvent devenir A ?? B.

Mais aussi que les pipes RxJs peuvent s’agrémenter de code perso et ainsi pouvoir charger un Object { a: 1, b: 2 } vers un tableau [{ name: a, value: 1 }, {...}].

Ou encore qu’on ne peut pas retourner la déclaration d’un enum pour accéder à ses clefs (return SO0), mais qu’il faudra retourner ses clefs directement (return Object.values(SO0)).

Enfin voilà, en gros, tout est une bonne grosse question de type et de ce que l’on peut faire avec. Il y aurait encore à en dire, mais au final je n’ai pas retenu ces directions, et sans les notes il sera dur de vous en montrer plus.

Il y a bien sûr encore pas mal de boulot, je vais repasser progressivement, à temps perdu, dans l’ensemble du POC et de TARS lui-même, faire un coup de clean et de typage massif, gestion d’erreur(s), et surement de refactorisation plus ou moins importante, par exemple la suppression du mode 2D, ce qui aiderait quelques petite performances; mais aussi le fait rencontré que le validateur de chemin n’ait pas l’information disponible de la différence de hauteur/niveau/élévation entre 2 Coords en comparaison, et qu’il sera difficile en l’état d’y arriver. Du coup, on reparle de théorie du système, doit-il gérer Z ou pas, gros débat (ombre portée dynamique, lumière, changement de niveau (hauteur), …).

Quand on pense qu’au départ de ce moment je voulais juste reprendre le dev de l’éditeur…

Y replonger, bien que difficile, chronophage et casse-gueule avec le temps et la mentalité différente aujourd’hui, est amusant, un petit challenge sur le côté, et surtout : il fonctionne, pour ce qu’il est, ses limites et possibilités.

Je me tâte toujours, est-ce que Nahyan peut être exploré en isométrique ou doit-on absolument le voir en 3D ?